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Vous parcourez tout au plus 20 000 kilomètres par an ? Une motorisation essence est à considérer ! Outre les arguments fiscaux, les moteurs essence offrent de la sportivité et sont aujourd’hui bien plus efficients qu’autrefois. Un progrès technologique symbolisé par le downsizing. Des moteurs de cylindrée moindre offrant une meilleure combustion du carburant permettant davantage de puissance pour moins d’émissions polluantes. Découvrez l’ensemble de nos voitures d’occasion à moteur essence. Des véhicules qui ont tous bénéficié d’une révision et sont garantis par un professionnel de l’automobile. Des voitures qui peuvent être financées par un crédit auto, une LLD ou une LOA.
Durant des décennies, les Français ont préféré acheter des voitures diesel. Y compris sur le marché de l’occasion. Pour autant, la tendance s’est inversée ces dernières années. Trois raisons expliquent cela :
Ne résumons pas le moteur essence à ces seules considérations. Depuis toujours, le moteur essence est synonyme de sportivité et d’agrément de conduite. Parce que l’accélération se fait sur un régime moteur plus élevé et que la sonorité de l’échappement se veut plus mélodieuse.
La mécanique plus simple d’une auto essence implique également des coûts d’entretien maitrisés. L’ensemble de ces considérations doit vous amener à opter pour une voiture d’occasion essence si vous parcourez moins de 20 000 kilomètres par an et même davantage. Vous ne souffrirez d’aucune difficulté pour revendre votre véhicule dans quelques années.
Du petit 0,9l TCe Renault au V12 d’une Bentley en passant par les milliers de véhicules proposés sur autosphere.fr, les moteurs essence fonctionnent selon un cycle à 4 temps. Dans un premier temps, le piston aspergé d’essence (injection directe ou carburateur) aspire l’air admis par la soupape à la façon d’une pompe à vélo. Le deuxième temps voit la soupape d’admission être fermé tandis que le piston effectue une remontée permettant de comprimer le mélange d’air et de carburant (mélange gazeux) jusqu’au point mort haut et d’accéder à la troisième étape, celle de l’allumage par la bougie. Une étincelle qui permet la combustion et le recul du piston du fait de la pression créée. La dernière étape permet l’échappement des gaz dans le piston juste avant l’arrivée au point mort bas et revenir ainsi à la première étape. Les pistons sont reliés à un vilebrequin. Ce dernier assure la conversion de l’énergie calorifique née de la combustion interne en énergie mécanique, celle qui fait tourner les roues.